Looking for a place to hide: a study of social loafing in agile teams

✒ Enzo SandrĂ© · 📆 19/08/2025 · 🧠 Psychologie

😮 Les projets Ă©tudiants sont une rĂ©pĂ©tition gĂ©nĂ©rale du monde du travail : plus le groupe est nombreux, plus les passagers clandestins pourront dĂ©libĂ©rĂ©ment exploiter les autres sans se faire prendre. Le phĂ©nomĂšne que je dĂ©cris ne doit pas ĂȘtre confondu avec l’organisation sous-optimale d’une Ă©quipe ou les diffĂ©rences de niveau entre ses membres, qui ne sont pas des pertes de productivitĂ© intentionnelles mais accidentelles. Ce phĂ©nomĂšne est appelĂ© flĂąnerie sociale, social loafing dans la langue de Chesterton.

đŸ˜¶â€đŸŒ«ïž Les mĂ©thodes agiles interdisent de mesurer les performances individuelles ou d’affecter des tĂąches Ă  quiconque. L’équipe est un atome (Whole Team & Collective Ownership en eXtreme Programming). On pourrait s’attendre Ă  voir les parasites se greffer aux Ă©quipes agiles comme la misĂšre sur le monde. Les deux cas Ă©tudiĂ©s par les chercheurs semblent montrer qu’il n’en est rien. Au contraire, les indicateurs individuels semblent plus faciles Ă  “hacker” par les paresseux que les relations humaines d’une Ă©quipe agile.

⚠ L’échantillon est plus que maigre, nous connaissons probablement tous des contre-exemples de cela, aussi ce rĂ©sultat doit ĂȘtre pris avec prudence.

SOURCE

McAvoy, John and Tom Butler. “Looking for a place to hide: a study of social loafing in agile teams.” European Conference on Information Systems (2006).

Enzo Sandré


📄 Lien public