đ”ïž Aucune entreprise nâembauche de dĂ©veloppeur sans de couteux tests, frĂ©quemment hors-sujet dâailleurs. VĂ©rification du CV, Ă©valuation du niveau technique, voire vĂ©ritable enquĂȘte de dĂ©tective pour les plus anxieux. Pourtant, une fois dans lâentreprise, le dĂ©veloppeur est parfaitement libre de taper ânpm installâ ou autre commande similaire. Il fait entrer du code arbitraire comme dĂ©pendance du SI, sans que personne ne vienne lâembĂȘter. Le geste est devenu naturel pour les dĂ©veloppeurs tant il est facile. Jamais les Ă©coles dâinformatique nâabordent le sujet de la gestion irresponsable des dĂ©pendances dans notre profession.
đ± Se plaindre de lâirruption de lâIA dans le monde du dĂ©veloppement est une panique morale tant que les entreprises ne considĂ©reront pas sĂ©rieusement la gestion des dĂ©pendances externes de leurs logiciels. Ce papier est un condensĂ©, le minimum vital Ă connaĂźtre pour ne pas mettre en danger son entreprise.
SOURCE
Russ Cox. 2019. Surviving software dependencies. Commun. ACM 62, 9 (September 2019), 36â43. DOI:10.1145/3347446A
Enzo Sandré
đ Lien public DOIs: 10.1145/3347446