🗊 Les méthodes de Story TDD comme BDD ont été analysées par plusieurs chercheurs. Deux canadiens en ont fait une revue de littérature. On y apprend que la méthode fonctionne, mais que les projets d’UI et les gros projets s’y adaptent très mal. L’outillage est encore très rudimentaire ou trop lourd.
💵 Cependant, la méthode parvient à créer des tests de non-régression qualitatifs et peu couteux, puisqu’ils sont réalisés en même temps que le recueil du besoin. Ce dernier est d’ailleurs facilité par le dialogue avec le code, qui permet de repérer les ambiguités et contradictions très tôt, contrairement aux spécifications papier.
🗓️ Les développeurs se sentent plus sûrs de leurs estimations, le projet est globalement plus à l’heure et respecte mieux les coûts. La communication entre parties prenantes est améliorée. Cependant l’adoption n’est pas aisée car elle implique tout le monde.
🔧 Le coût de maintenance de tels tests fait débat et peu de papiers l’ont étudié sérieusement.
SOURCE
Park, S., Maurer, F. (2010). A Literature Review on Story Test Driven Development. In: Sillitti, A., Martin, A., Wang, X., Whitworth, E. (eds) Agile Processes in Software Engineering and Extreme Programming. XP 2010. Lecture Notes in Business Information Processing, vol 48. Springer, Berlin, Heidelberg. DOI:10.1007/978-3-642-13054-0_20
Enzo Sandré
DOIs: 10.1007/978-3-642-13054-0_20