🇫🇮 Les odeurs du code sont très peu connues des développeurs, bien moins que les patterns. Pour y remédier, le finlandais Mika Mäntylä propose en 2006 une classification des odeurs du code qui est passée à la postérité. Son but : simplifier pour mieux enseigner.
🗜️De 22 odeurs « classiques » chez Fowler, Mäntylä passe à 7 familles, plus faciles à retenir et à comprendre. L’auteur a résumé sa taxonomie sur GitHub : https://mmantyla.github.io/BadCodeSmellsTaxonomy
👨‍🏫 C’est un outil précieux pour les formateurs, qui n’ont pas besoin d’entrer dans le détail des odeurs du code pour enseigner la notion.
SOURCES
Mäntylä, M. V. and Lassenius, C. « Subjective Evaluation of Software Evolvability Using Code Smells: An Empirical Study ». Journal of Empirical Software Engineering, vol. 11, no. 3, 2006, pp. 395-431.
M. Fowler and K. Beck, « Bad Smells in Code, » in Refactoring: Improving the Design of Existing Code, Addison-Wesley, 2000, pp. 75-88. DOI: 10.1007/s10664-006-9002-8
Enzo Sandré
DOIs: 10.1007/s10664-006-9002-8