đ„ Plus une fonctionnalitĂ© est Ă©parpillĂ©e dans le code, plus elle a de chances dâĂȘtre dĂ©fectueuse. Cela vaut aussi pour les Crosscutting Concerns (logs, sĂ©curitĂ©, exceptions, etc.). Plus ils sont nombreux et moins ils sont modularisĂ©s, plus le code spaghetti guette !
đŁ Ce rĂ©sultat, indĂ©pendant du nombre de lignes de code, a Ă©tĂ© obtenu en 2008 par plusieurs membres de lâorganisation IEEE. Ils rĂ©pondaient Ă la question « Les Crosscutting Concerns sont-ils source de dĂ©fauts ? ». La rĂ©ponse est bien oui, car ils sont difficiles Ă modulariser, difficiles Ă tester et sont donc trĂšs souvent implĂ©mentĂ©s avec insouciance par les dĂ©veloppeurs, au motif que « ça nâest pas du code mĂ©tier ».
â ïž Les Crosscutting Concerns sont partout et ne doivent pas ĂȘtre pris Ă la lĂ©gĂšre. Contrairement Ă la croyance courante, ils sont Ă confier aux plus expĂ©rimentĂ©s, pas aux juniors que lâon refuse de mettre sur le code mĂ©tier.
SOURCE
Marc Eaddy, Thomas Zimmermann, Kaitlin D. Sherwood, Vibhav Garg, Gail C. Murphy, Nachiappan Nagappan, and Alfred V. Aho. 2008. Do Crosscutting Concerns Cause Defects? IEEE Trans. Softw. Eng. 34, 4 (July 2008), 497â515.
Enzo Sandré
DOIs: 10.1109/TSE.2008.36