đ Il y a des quantitĂ©s de papiers expĂ©rimentaux sur TDD. Ils mĂ©riteraient une synthĂšse, mais en attendant je vous en livre un de plus : chez IBM, une Ă©quipe expĂ©rimentĂ©e travaillant en mode Test-Last a Ă©tĂ© comparĂ©e Ă une Ă©quipe de novices pratiquant TDD. Les rĂ©sultats sont bluffants.
đ 40% de nouveaux bugs en moins sur le mĂȘme projet pour lâĂ©quipe TDD. Un impact minimal sur la productivitĂ©. Des tests jugĂ©s plus maintenables, qualitatifs et rĂ©utilisables.
âïž Contrairement Ă beaucoup dâĂ©tudes qui comparent assez fallacieusement TDD Ă lâabsence de tests, celle-ci a le mĂ©rite de comparer TDD Ă Test-Last. LâĂ©tude ne dit pas comment les dĂ©veloppeurs de lâĂ©quipe TDD ont Ă©tĂ© formĂ©s, ni leur niveau prĂ©cĂ©dant la formation.
âïž Sous rĂ©serve que lâinvestissement, que lâon sait consĂ©quent, soit fait, TDD semble apporter des bĂ©nĂ©fices dĂ©montrĂ©s.
SOURCE
L. Williams, E. M. Maximilien and M. Vouk, « Test-driven development as a defect-reduction practice, » 14th International Symposium on Software Reliability Engineering, 2003. ISSRE 2003., 2003, pp. 34-45, doi: 10.1109/ISSRE.2003.1251029.
Enzo Sandré
DOIs: 10.1109/ISSRE.2003.1251029